FLORE MORNEAU-SÉVIGNY PSYCHOLOGUE
À PROPOS DE MOI
J’œuvre dans le domaine de la psychologie et de la relation d’aide depuis 2009. Je suis membre en règle de l'Ordre des psychologues du Québec et titulaire d’un doctorat en psychologie (Programme de Ph.D. Recherche et Intervention). Ma thèse de doctorat portait sur les facteurs associés à la détresse psychologique chez les étudiants universitaires. Dans le cadre de mes études, j’ai développé une expertise sur la détresse psychologique des professionnels de la santé, plus spécifiquement des étudiants en médecine. J’ai rédigé un article scientifique sur ce thème (Morneau-Sévigny et coll., 2013).
Ma formation clinique s’est déroulée au Service de Consultation de l’Université Laval ainsi qu’à l’Hôpital de l’Enfant-Jésus. Au cours de mes études, j’ai développé une expertise dans le traitement cognitif et comportemental des troubles anxieux, de l’humeur et du sommeil. À la fin de mes études universitaires, j’ai reçu de la supervision et suivi des formations cliniques dans diverses approches psychothérapeutiques: psychodynamique, humaniste, thérapie des schémas de Young et thérapie d'acceptation et d'engagement. Dans les dernières années, je me suis particulièrement intéressée au lien entre le thérapeute et le client. Depuis 2019, j’effectue la majorité de mes activités de formation continue en psychothérapie du lien (Centre d’Intégration Gestaltiste). Je reçois également de la supervision sur une base régulière dans cette approche.
APPROCHE
Mon approche est intégrative et relationnelle. J’utilise deux formes de thérapie intégrative dans le cadre de mon travail : la thérapie des schémas et la psychothérapie du lien. Pour moi, le changement en thérapie s’effectue dans le cadre d’une relation entre le thérapeute et le client. Dans mon travail, j’accorde une grande importance à l'alliance thérapeutique. Cette alliance fait référence au lien affectif entre le thérapeute et le client ainsi qu’à l’accord mutuel sur les tâches et les objectifs thérapeutiques (Safran & Muran, 2000). Je vois la thérapie comme un exercice d’exploration qui se caractérise par une collaboration flexible, active ainsi qu’une quête de sens conjointe entre le client et moi (Hardy et Shapiro, 1985; Lecomte et al., 2004).
La thérapie des schémas considère que la composante cognitivo-comportementale est l’essentiel du traitement, mais intègre des aspects de l’approche psychodynamique, de la théorie de l’attachement et de la Gestalt (Young, Klosko et Weishaar, 2017). Selon Young, les schémas précoces inadaptés sont constitués de thèmes importants et envahissants pour l’individu. Ils concernent la personne et ses relations avec les autres et ils se sont développés au cours de l’enfance ou de l’adolescence.
La psychothérapie du lien (ou psychothérapie gestaltiste des relations d’objet – PGRO) intègre des notions de l’approche humaniste, psychodynamique et des neurosciences. Dans cette approche, la relation entre le client et le thérapeute est le support central du traitement. La relation thérapeutique est vue comme un espace pour observer, comprendre et questionner les façons d’être en relation. C’est une forme de thérapie fondée sur le dialogue, l’accueil des affects, la recherche du sens des expériences et l’expérimentation avec le thérapeute de nouvelles façons d’être en lien (www.assopgro.com, Delisle, 1998).
Référence orientations théoriques : https://www.ordrepsy.qc.ca/les-orientations-theoriques
MON PARCOURS PROFESSIONNEL
PARCOURS SCOLAIRE
Baccalauréat en psychologie Université Laval (2009-2012)
Doctorat en psychologie Université Laval (2012-2017)
Practica au Service de consultation de l’École de Psychologie – Unité de thérapie cognitive comportementale
Practica à l’Hôpital de l’Enfant Jésus – Sciences neurologiques
Internat au Service de consultation de l’École de Psychologie – Unité de thérapie cognitive comportementale et Unité du sommeil
FORMATIONS AVEC L'INSTITUT DE THÉRAPIE COMPORTEMENTALE ET COGNITIVE
Piège du bonheur : introduction à l'ACT (Thérapie d’acceptation et d’engagement) (mars 2015)
Thérapie des schémas (Volet 1 à 3) (avril 2017)
Neuropsychothérapie : processus de reconsolidation thérapeutique de la mémoire via la thérapie de la cohérence (janvier 2018)
Le transfert revisité : intervenir sur le lien en psychothérapie (mai 2019)
FORMATIONS AVEC LE CENTRE D’INTÉGRATION GESTALTISTE
Le développement du psychothérapeute : ses modalités, ses effets, son impact (février 2019)
La relation d’objet en psychothérapie (75 heures) (septembre 2019 à juin 2020)
L’attachement dans la relation thérapeutique: aspects neurodéveloppementaux et implications pour la psychothérapie (août 2020)
Narcissisme et estime de soi: aspects neurodéveloppementaux et implications pour la psychothérapie (janvier 2021)
Éros et psyché: aspects neurodéveloppementaux et implications pour la psychothérapie (avril 2021)
Formation en psychothérapie gestaltiste des relations d’objet (315 heures) (septembre 2020 à mars 2023)
Le processus thérapeutique de la phase finale en psychothérapie (juillet 2023)
AUTRES FORMATIONS
Intervenir auprès de la personne suicidaire (mars 2013)
L’impuissance du psychothérapeute dans sa pratique (novembre 2015)
Stratégies cliniques avancées en ACT (avril 2016)
Êtres en relation (juin 2018)
Les schémas autrement (décembre 2018)
L’intégration du cycle de la vie, pour intégrer le passé (septembre 2019)
Les structures de personnalité dans la psychothérapie psychodynamique (janvier 2022)
MOTIFS DE CONSULTATION
J'OFFRE DE LA THÉRAPIE INDIVIDUELLE AUX ADULTES PRÉSENTANT LES DIFFICULTÉS SUIVANTES:
Anxiété
Dépression
Insomnie
Perfectionnisme et anxiété de performance
Épuisement professionnel
Deuil
Gestion du stress et des émotions négatives
Questionnements en lien avec les relations interpersonnelles
Estime de soi et confiance en soi
Adresse
205 rue Montmagny, local 202
Québec, G1N 4V3
Téléphone
581-681-6610
HEURES D'OUVERTURE
Lundi: 13h à 20h
Mercredi: 9h à 17h
Jeudi: 9h à 17h
Vendredi: 9h à 17h
QUESTIONS FRÉQUENTES
QUELLE EST LA DURÉE DE LA PSYCHOTHÉRAPIE ?
La durée du traitement dépend de vos objectifs thérapeutiques. Toutefois, effectuer des changements significatifs dans votre vie exige du temps. La psychothérapie peut s’étendre de quelques mois à quelques années.
QUELLE EST LA FRÉQUENCE DES RENCONTRES ?
La fréquence est habituellement d’une rencontre par semaine. Cependant, dans certains contextes, les rencontres peuvent avoir lieu aux deux semaines.
COMBIEN COÛTE UNE CONSULTATION ?
Le tarif est de 130$ par séance de 50 minutes. Les honoraires sont payables en argent, par chèque, par carte de débit ou via virement interac avec téléphone intelligent, et ce, à la fin de chacune des rencontres.
Plusieurs compagnies d’assurance remboursent, en partie ou en totalité, les frais encourus pour des consultations en psychothérapie. Pour savoir si votre assurance couvre ces frais, informez-vous auprès de votre assureur.
COMMENT SE DÉROULE LA PSYCHOTHÉRAPIE ?
La thérapie débute par un processus d’évaluation d’une durée de deux rencontres. L’évaluation permet d’explorer la nature de votre détresse psychologique et d’identifier si les services sont appropriés pour vos besoins. À la fin de la première rencontre, des questionnaires vous sont transmis. L’évaluation est au cœur des deux premières rencontres, mais la réflexion diagnostique se poursuivra tout au long du processus thérapeutique.
Lors de l’évaluation, je répertorie avec vous les symptômes associés à la détresse. Toutefois, ma manière d’évaluer et de travailler avec vous mettra surtout l’emphase sur les enjeux relationnels et la vision que vous avez de vous, des autres et du monde. Afin de travailler sur ces points, la relation thérapeutique servira de levier. À la suite de l’évaluation, les objectifs du traitement seront discutés avec vous.
Loi 25
Comme psychologue et travailleur autonome, en vertu de la loi 25, j’assure aussi le rôle de Responsable de la protection des renseignements personnels pour mon bureau en pratique privé. En cas d’incident de confidentialité impliquant un renseignement personnel, vous pouvez me contacter par courriel ou par téléphone afin que je puisse évaluer le préjudice causé par l’incident, prendre les mesures nécessaires pour prévenir qu’un incident similaire survienne de nouveau et rendre compte par écrit de l’incident et des mesures prises pour en atténuer les préjudices potentiels aux personnes concernées ainsi qu’au Commissaire d’accès à l’information.
INFORMATIONS ET LIENS UTILES
Pour en savoir plus